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Le développement durable

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Le développement durable : Définition, Historique 

Petit Historique

Quelques Dates clés :

  • 1971 : création du Ministère Français de l’Environnement, c’est la reconnaissance du patrimoine naturel de la Nation.
  • Stockholm 1972 : Sommet des Nations Unies sur l’Homme et l’Environnement
  • 1987 : le rapport Brundtland définit le développement durable : « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs » autrement dit, chaque être humain a le droit d’utiliser les ressources de la terre mais le devoir d’en assurer la pérennité.
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  • 1992 : 2ème sommet de la Terre à Rio de Janeiro. Le concept de développement durable est promu au rang de priorité mondiale, c’est la recherche d’un nouvel équilibre entre :
    – le développement économique,
    – l’équité sociale
    – la préservation de l’environnement.
    – 173 pays adoptent alors un Projet d’Action pour le XXIème siècle appelé aussi : Agenda 21
  • 1997 : Conférence « Rio + 5 » à New-York : 1er Bilan.
  • 2002 : Sommet de Johannesburg. Ratification d’un traité sur la conservation des ressources naturelles.
  • 2005 : Protocole de Kyoto sur la réduction des gaz à effet de serre.
Qu'est-ce que le développement durable ?

Une définition du développement durable

20 juillet 1969 : l’homme se pose sur la lune et prend conscience que la planète bleue est une minuscule oasis fragile, perdue dans l’immensité de l’univers. À l’époque, seulement 3,5 milliards d’être humains vivaient sur la Terre. Aujourd’hui, nous sommes 6,2 milliards… une augmentation de 79 % en seulement 33 ans !
Et si l’on en croit les données démographiques, il y a de fortes chances pour que la Terre soit peuplée de 10 milliards d’êtres humains avant le milieu du siècle.
Quatre milliards de bouches supplémentaires à nourrir, dont la plupart se trouveront sans doute dans les mégalopoles du Tiers-Monde. Quatre milliards d’hommes qu’il faudra loger, chauffer, éclairer alors que 800 millions de personnes souffrent toujours de faim à l’heure actuelle, qu’un milliard et demi n’ont pas accès à l’eau potable et deux milliards ne sont pas raccordés aux réseaux d’électricité !
Or, en 2050, si chaque habitant des pays en développement consomment autant d’énergie qu’un Japonais en 1973, la consommation mondiale d’énergie sera multipliée par quatre !
Certes, en l’espace de seulement un demi-siècle, le niveau de vie d’une partie de l’humanité a plus évolué que pendant deux millénaires. Mais en contrepartie, les catastrophes industrielles n’ont cessé de se multiplier : Tchernobyl, Seveso, Bhopal, Exxon Valdez pour ne citer que les plus graves. Sans oublier les dégâts écologiques inquiétants : pollution de l’air et de l’eau, disparitions des espèces animales et végétales, déforestation massive, désertification…
D’où ces questions fondamentales : Comment concilier progrès économique et social sans mettre en péril l’équilibre naturel de la planète ? Comment répartir les richesses entre les pays riches et ceux moins développés ? Comment donner un minimum de richesses à ces millions d’hommes, de femmes et d’enfants encore démunies à l’heure où la planète semble déjà asphyxiée par le prélèvement effréné de ses ressources naturelles ? Et surtout, comment faire en sorte de léguer une terre en bonne santé à nos enfants ?
C’est pour apporter des réponses concrètes à ces questions qu’est né le concept de développement durable. Un concept que l’on résume aujourd’hui d’une simple phrase : ” un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs “.
Pour y parvenir, les entreprises, les pouvoirs publics et la société civile devront travailler main dans la main afin de réconcilier trois mondes qui se sont longtemps ignorés : l’économie, l’écologie et le social. À long terme, il n’y aura pas de développement possible s’il n’est pas économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable.

Les enjeux du développement durable

Suite à la conférence de Rio, la plupart des Etats se sont engagés à élaborer une stratégie nationale de développement durable. Sa mise en œuvre est complexe car elle doit faire face aux enjeux du développement durable qui impose des changements structurels en profondeur.
Le développement durable, une approche décloisonnée pour une croissance sobre et équilibrée qui ne laisse personne sur le bord du chemin

Le changement climatique, la consommation d’énergie, la production de déchets, les menaces pour la santé publique, la pauvreté et l’exclusion sociale, la gestion des ressources naturelles, la perte de biodiversité, l’utilisation des sols… Autant de défis qui nous amènent à repenser notre économie et notre croissance en faveur d’une société plus “sobre” !
Si le développement durable s’impose aujourd’hui comme une nécessité, il est également une formidable opportunité pour reconstruire notre économie et notre société. Auparavant essentiellement abordée à travers leur volet environnemental, les démarches de développement durable s’appuient désormais pleinement sur leur pilier social. En effet, la survenue de crises financières et économiques a souligné la nécessité d’un nouveau mode de développement. Associer la population en instaurant de nouveaux modes de gouvernance, notamment via la concertation et la consultation, est un élément déterminant de cette stratégie.

Les engagements internationaux de la France en matière de développement durable

Le Sommet de la Terre de Rio en juin 1992, ou Conférence sur l’Environnement et le Développement, fut l’étape décisive dans l’engagement des pays en faveur du développement durable. Il a notamment vu l’adoption d’un programme global appelé « Agenda 21 » et de plusieurs conventions, qui reposaient en particulier sur une responsabilité « commune, mais différenciée » des Etats à affronter les enjeux environnementaux planétaires, telles la convention-cadre sur le changement climatique, la convention sur la diversité biologique ou la convention sur la lutte contre la désertification.
Egalement lors du Sommet de la Terre, la France s’est engagée, comme les autres gouvernements et ainsi que la Commission européenne, à produire régulièrement un bilan de la mise en œuvre des engagements pris en matière de développement durable ainsi qu’une présentation mise à jour de sa stratégie en la matière. Cet engagement a été réaffirmé en septembre 2002, à Johannesburg, dans un plan d’actions qui demande de « prendre des mesures immédiates pour progresser dans la formulation et l’élaboration de stratégies nationales de développement durable et commencer à les mettre en œuvre d’ici à 2005 ».
C’est notamment en réponse à cette exigence que la France a élaboré en 2003 une Stratégie nationale de développement durable pour 5 ans, actualisée en 2006. La nouvelle Stratégie nationale de développement durable 2009-2013 fournit également un cadre de réponse aux engagements de la France sur les conventions fondatrices.

 

Les 3 axes

Les 3 piliers du développement durable :

  • Le développement économique : accessibilité, Zones d’Aménagement Concerté, commerces de proximité et emploi.
  • Le développement social : école, crèche, petite enfance, soutien scolaire, jeunesse, associations, sport, solidarité, santé et prévention de l’exclusion.
  • Le développement écologique : protection de l’environnement, sobriété énergétique et préservation des ressources, tri et recyclage, ramassage des déchets verts. Pistes cyclables, circuits de promenades.

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